APRES L’ULTIMATUM LANCE AUX FDLR LES VOIX SE LEVENT D’ABORD CHEZ LES FDLR EN SUITE LE GOUVERNEMENT CONGOLAIS,LA MONUSCO ET ENFIN LA SADC
La date du 2
janvier 2015 était la date butoir pour les rebelles Hutu Rwandais des FDLR
Force Démocratique pour la Libération du Rwanda.
En effet cette rébellion
qui terrorise les habitants de l’Est du Congo pendant plus de 20 ans devrait désarmer
avant cette,les chefs d’Etats de la SADC,la CIRGL,le Gouvernement congolais et
la communauté internationale avaient
lancé cette ultimatum aux FDLR et dès le 2 janvier une opération militaire
devrait être lancer pour désarmer avec force les Fdlr qui n’auront pas désarmer.
Dès lors un bon
nombre des FDLR avait désarmer cantonner à Kanyabayonga puis en suite envoyer
au camp Lucien Bauma à Kisangani ils sont en tout aux environs de 300 sur les
1500 à 2000 FDLR qui sont au Nord et au Sud Kivu,suivant la logique les récalcitrants
devraient déjà subir la force du brigade d’intervention de la Monusco
composé des Malawites,Tanzaniens et Sud Africains et des FARDC.
Contacter par
Radio Kivu1 le porte parole des FDLR monsieur La Forge Fils Bazeye le 2 janvier
avait dit que eux ne sont pas prêt pour affronter cotte coalition car ils sont
entrain de désarmer il était déçu de constater que la communauté internationale
demander beaucoup des choses aux FDLR et ne demander rien au Gouvernement
Rwandais,La forge avait demandé que l’on oblige à Kigali de dialoguer avec eux
et pas les battre.
Atterrissant à
Goma le 4 janvier le Représentant Spécial adjoint du secrétaire General des
Nations Unies en charge de l’Etat de Droit et des Opérations le General
Abdallah WAFY s’était directement adressé à La Forge en disant que les FDLR ne
peuvent rien exiger ils désarment ou ils vont subir la force de la brigade de
la Monusco et des FARDC,li avait précisé en disant que la force ne sera utilisé
que contre ceux qui arme à la main résisteront.
La position du
gouvernement congolais s’était fait entendre le jour même de la fin de cette
Ultimatum dans un communiqué lu à la chaîne nationales RTNC par le ministre de
la Justice Alexis Tambwe MWAMBA il était dit dans ce communiqué que l’option
militaire est la seule option qui restait pour mettre fin à ce phénomène FDLR
qui n’a que trop duré.
Pour la SADC le président
sud Africain Jacob ZUMA a dit que la SADC est prête à renforcer les unités en
RDC pour mettre fin aux FDLR écrit nos confrère de Jeune Afrique.Il a annoncé
une prochaine rencontre des Chefs d’Etats de la SADC du 15 au 16 janvier
prochain pour statuer sur ce cas.
Dossier à suivre…
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